Le jeu peut-il ětre sérieux? Revisiter Jouer/Apprendre en temps de serious game - Université Sorbonne Paris Nord Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Australian Journal of French Studies Année : 2012

Le jeu peut-il ětre sérieux? Revisiter Jouer/Apprendre en temps de serious game

Résumé

Notre propos est de revisiter la question des relations entre jouer et apprendre au moment où le succès du “serious game” en souligne l’actualité. Sans doute s’agit-il plus souvent de “persuasive game” (Bogost) que de “learning game”, mais parler de sérieux suppose que le jeu ait des conséquences, sorte de sa frivolité. Si “ludique” est souvent utilisé pour désigner ce qui s’oppose au sérieux, ce qui est sans conséquence ou “pour de faux”, le jeu sérieux serait alors un jeu non ludique. Je me propose pour traiter cette question de ne pas définir le jeu, de ne pas le délimiter, mais d’en explorer les marges où les hybridations entre des activités à l’apparence opposées sont possibles et de considérer que le jeu renvoie moins au frivole ou au sérieux qu’à une tension entre ces deux dimensions.
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hal-03605411 , version 1 (11-03-2022)

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Citer

Gilles Brougère. Le jeu peut-il ětre sérieux? Revisiter Jouer/Apprendre en temps de serious game. Australian Journal of French Studies, 2012, 49 (2), pp.117-129. ⟨10.3828/AJFS.2012.10⟩. ⟨hal-03605411⟩
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