Résumé : Depuis quatre décennies, le Sénégal septentrional et le Galodjina en particulier sont engagés dans des programmes d’aménagement et de développement du fait de ses potentialités hydro-pédologiques et agro-sylvo-pastorales. La revalorisation de la vallée alluviale et des marges du Lac de Guiers se manifeste par un remaniement du système des ressources, le développement d’aménagements hydro-agricoles et agro-industriels, l’émergence de villes secondaires où des pasteurs reviennent se procurer de services urbains ou en transhumance, mais aussi le cloisonnement des espaces de des systèmes de production.