«. and Z. Némée, ma chère) numpha, sang sacré des dieux frère et soeur 35 Notre épinicie de tes (?) chevaux. Car il y a peu, de la terre de Danaos né de la Vache 36 , Jusqu'à l'île d'Hélène 37, Annonçant qu'auprès du tombeau d'Ophéltès fils d'Euphétès 39 , Aucun des cochers en tête n'avait couru assez vite Pour chauffer tes épaules du souffle de ses chevaux : les tiens Couraient comme le vent, et personne ne vit de queue de poisson

-. J. Mais-cette-victoire-eut-lieu-en-245-av, un an après le mariage de Bérénice II avec Ptolémée III, à une date où la reine ne pouvait plus être la princesse vierge des épigrammes. On supposa donc que la victoire olympique de Bérénice II, si c'était bien elle la « reine virginale », était antérieure à sa victoire néméenne et qu'il fallait la dater du temps de ses fiançailles avec Ptolémée III, c'est-à-dire entre 250

«. Disent and . Longuement, Ptolémée, le père de Bérénice, terrorisé à la vue de la multitude de ses ennemis, chercha son salut dans la fuite ; mais sa fille, bien entrainée à cela, sauta à cheval, regroupa le reste des troupes et tua un grand nombre d'ennemis tandis que les autres prenaient la fuite. C'est la raison pour laquelle Callimaque la qualifie de, p.41

«. Le, L. «. Pasteur-de-phoques-»-est-le-génie-transformiste-protée, and . Vieux-de-la-mer, qui habite Pharos dans l'Odyssée, mais qui résida aussi en Chalcidique, sur la péninsule de Pallène, en face de la Macédoine, patrie des Ptolémées. Censé aller d'un lieu à l'autre sous les eaux

V. Callimaque and . Berenices, Eléments de commentaire sur la divinité de Bérénice, pp.254-258, 1986.

I. Bérénice, Elle montait elle-même à cheval et fit tout ce qu'il fallait pour arriver pure au mariage égyptien que Ptolémée II et son père, Magas, avaient programmé pour elle. C'est en cela qu'elle fut, diront les poètes, magnanima, « une grande âme » : non pas parce qu'elle gagnait aux courses, mais parce qu'elle fit exécuter l'indigne fiancé qu'on voulait lui imposer. En 245, un an après son mariage, elle gagnait, elle-aussi, la course de chars des Jeux Néméens, Mais elle n'était pas femme à se satisfaire des petits poèmes à la manière de Poseidippos, peut-être déjà disparu à cette époque. C'est une épinicie grandiose qu'elle commanda à Callimaque

D. Certes, Clayman date aussi ces épigrammes du règne de Ptolémée III et Bérénice II, mais le grec d'AB 88 s'y oppose

I. Bérénice, fiancée à Ptolémée (futur) III, succède à son père Magas à Cyrène et fait tuer son autre fiancé

C. Austin and G. Bastianini, Posidippi Pellaei quae supersunt omnia, 2002.

M. Dillon, « Did Parthenoi Attend the Olympic Games ? Girls and Women Competing, Spectating and Carrying Out Cult Roles at Greek Religious Festivals », Hermes, vol.128, pp.457-480, 2000.

D. J. Thompson and . Posidippus, The New Posidippus : A Hellenistic Poetry Book, Poet of the Ptolemies, pp.269-283, 2005.